Monks Music

Leggendo l’ultimo libro di Murakami, L’Assassinio Del Commendatore, ho trovato Monk’s Music citato dallo scrittore, appassionatissimo di jazz, e così l’ho ripreso.

La musica di Monk è piena d’aria, di respiro, di stanze vuote, ed il suo stile compositivo e pianistico rimane personalissimo.
Era innovativo e di difficile collocazione ai suoi tempi, rimane innovativo e fresco, e fonte di ispirazione a distanza di decenni.
Da dove vengono questi accordi pianistici, da dove nascono? Sicuramente non da studi o esercizi, ma dal ‘di dentro’ di questo fantastico e sfortunato musicista.

Il CD si apre con Abide With Me, evocativo arrangiamento di Thelonious, per soli fiati, di un inno di un altro Monk.
E poi si parte, con brani che descrivere è inutile, perché sarebbe come descrivere il Mosè.
Ci sono le solite alternate tracks (cosa che da sempre detesto, perché sono scarti che rovinano la continuità del progetto originale), ma soprattutto c’è l’accoppiata Coleman Hawkins - John Coltrane a creare ulteriore magia.

Bene, non ci resta che metterci in poltrona e far girare questo classico, inserito nel 2001 nel Grammy Hall Of Fame. Certo se un artista fosse apprezzato anche in vita e non solo dopo la sua morte…

Accompagnato da Monk’s Music ho così finito il libro di Murakami.

9 persone l'hanno trovato utile

PAOLO C.

Ottima incisione

Recensito in Italia il 27 ottobre 2021

Non sono un audiofilo o comunque non mi ritengo tale non essendo possessore di un impianto da decine di migliaia di euro, ma devo dire che questo disco suona bene. Le doti dell’artista non si discutono. Per me fantastico.

Ottimo album. Grande Artista Ottima qualità di registrazione

Cliente Amazon

Recensito in Italia il 2 febbraio 2022

Si percepisce il piacere e il divertimento, per la composizione musicale di questo album.
Molto piacevole all'ascolto.

Recensito in Italia il 26 marzo 2022

Se vi piace il jazz, dovete averlo!

Recensito in Italia il 15 gennaio 2022

Un Genio e il suo talento. Puro.

Recensito in Italia il 23 aprile 2017

anche se non presente Monk stesso, Blues for tomorrow per me vale il biglietto. Classico brano che rimetto in loop fino allo svenimento.
Artista strepitoso

Grandmaster Nat King Cole Porter Stomp

Crepuscule with Nellie

Recensito in Italia il 12 marzo 2015

Sarà anche per motivi affettivi (essendo uno dei primi dischi di Monk che ho imparato a conoscere) comunque dopo averne ascoltati a decine negli ultimi 20 anni resta uno dei miei preferiti.
Coltrane e Hawkins aiutano a rendere le versioni qui presenti di Off Minor e Crepuscule with Nellie tra le migliori mai eseguite da Monk (e parliamo di pezzi che ha suonato e risuonato in decine di dischi). Anche tutto il resto è di livello altissimo: Well you needn't, Ruby My Dear, etc.
Non c'è molto da aggiungere: Quasi ogni cosa incisa da Monk nel corso degli anni '50 è da ascoltare e ascoltare e ascoltare. E tra queste incisioni riuscitissime "Monk's Music" è un album che ulteriormente si distingue.

7 persone l'hanno trovato utile

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Quality

Recensito negli Stati Uniti il 19 marzo 2024

Great sound and collection of songs

Matthias

Best jazz on this planet

Recensito in Canada il 10 settembre 2021

This is a fun and playful jazz album.

Elena

Muy bueno

Recensito in Spagna il 24 marzo 2023

Me ha gustado mucho y a muy buen precio

Negustorm

Des potes et des pontes ou L'Alter ego du Moine.

Recensito in Francia il 24 marzo 2016

Art Blakey (dr) est considéré comme le pendant de Monk. Sur les dix dernières années, ils ont beaucoup enregistré ensemble : Blue Note (Trois LP 1947-51), Prestige (trois LP 1952-54), Riverside (1956 : The Unique), Atlantic (1957 avec les Jazz Messengers et Johnny Griffin). Soit les trois quarts de la discographie de Monk en 1957. Ce sera leur dernier enregistrement commun avant 1971.

Coleman Hawkins (ts) est le premier qui a invité Monk en studio en 1946.

Gigy Grice (as) a invité Monk sur son disque Nica's Tempo (1955).

Juste retour d'ascenseur, donc pour Monk envers ses trois vieux et jeune potes.

Il a invité John Coltrane (ts), viré par Miles Davis pour addiction notoire, qu'il admire et qui l'admire, admirent-ils tous les deux.

WELL, YOU NEEDN'T. Classique et classieux. L'exposition du thème par le mini big band (deux sax ténors, un alto, une trompette) est d'un très bel effet, plénitude. L'atout de cette session.
Le fameux "Coltrane! Coltrane!" invite l'intéressé à faire l'intéressant. On va dire qu'il se cherche encore mais qu'il trouve aussi par moments. Quels moments! Monk, impatient de soutenir son poulain qu'il laisse d'ailleurs souvent la bride sur le cou, sans accompagnement pour le laisser folâtrer à sa guise.

OFF MINOR. Composition difficile, énigmatique. L'harmonie frotte. Mais l'arrangement à 4 cuivres passe vraiment bien.

RUBY, MY DEAR. J'ai une préférence pour la version de Coltrane (sur "TM with John Coltrane"). Mais celle de Coleman Hawkins est très bien aussi, bien que très différente.

EPISTROPHY. Version épique. Blakey prend clairement toute la place. Hawkins essaie trois fois d'entrer en piste sans succès... Même Monk doit capituler après un très court solo. Il y a bien quelques hésitations, un léger flottement, ce qui donne une atmosphère assez étrange à ce morceau de bravoure.

CREPUSCULE WITH NELLIE. Version inaugurale et quasi symphonique. Monk attaque seul dans un registre dramatique. Puis de nouveau, à mi-parcours, les quatre cuivres donnent une dimension sublime au thème, sans la moindre improvisation. C'est que la composition est parfaite et ne souffre pas le moindre commentaire musical. Le plus grand titre de Monk. Je le pense. A la première écoute, j'ai été soufflé. C'était en 1982 ou 83.

Dans "With John Coltrane", on peut entendre une session plus tardive (juillet-août 1957) avec John C. en quartet au cours de laquelle son sax ténor sublime Nutty, Trinkle tinkle et Ruby, my dear.

Bref, ce disque est traversé de fulgurances. Blakey est bien plus qu'un accompagnateur : il est le pilier du sextet, l'alter ego du Moine.

NOTE ADDITIONNELLE : Il existe deux versions de ce LP Riverside ; une version mono et une version stéréo. La réédition du LP ici présente reprend les enregistrements en stéréo, sauf pour Crepuscule with Nellie en mono. On peut entendre une très nette différence.

L’enregistrement stéréo donne l'impression d'être dans le studio avec les musiciens. Monk à droite, les cuivres à gauche, le batteur au milieu, la basse derrière. La basse est en retrait car elle n'a pas de micro spécifique. A certains moments, on a même l'impression que quelqu'un déplace les micros sur le(s) soliste(s) et les replace ensuite sur l'ensemble de cuivres pour le thème. On a donc une impression étrange, expérimentale.

Sur Crepuscule with Nellie (en mono donc), on perd ce relief mais on gagne en clarté : les basses sont présentes, tout l'ensemble paraît plus dense, plus proche.

La version (entièrement) mono revêt plus de densité, les instruments ont plus de présence, semblent plus proches. Et puis le bassiste revient enfin dans l'orchestre et se fait bien entendre. Comment est-ce donc possible?

En fait, la session a été enregistrée avec deux séries de microphones : une pour le pressage mono et l'autre, plus éloignée, pour le pressage stéréo (sauf Crepuscule with Nellie). D'ailleurs, le LP Thelonious Monk with John Coltrane est en partie constitué de versions mono : Nutty, Trinkle Tinkle et Ruby my Dear sans parler de Functional (alternate take) - les autres titres sont en stéréo. Le son est donc très compact, très proche.

Certains préfèrent la version mono. On ne serait les en blâmer... Par contre, elle est introuvable en réédition et en version originale, les prix s'envolent pour une qualité aléatoire du vinyle (sans parler de la pochette).

4 persone l'hanno trovato utile

Jazzrook

Exhilarating music from Thelonious Monk's septet in 1957.

Recensito nel Regno Unito il 26 maggio 2012

These electrifying sessions recorded on June 25/26, 1957 feature pianist/composer Thelonious Monk's septet with the contrasting tenor saxophones of John Coltrane & Coleman Hawkins, altoist Gigi Gryce, trumpeter Ray Copeland and Wilbur Ware & Art Blakey bass & drums respectively.
The album begins with a short and striking version of the hymn 'Abide With Me' featuring trumpet and saxophones only, followed by exhilarating septet versions of Monk's 'Well You Needn't', 'Ruby My Dear', 'Off Minor'(takes 4&5), 'Epistrophy' & 'Crepuscule With Nellie'(takes 4,5&6). Ending the album is Gigi Gryce's 13-minute 'Blues For Tomorrow' with Monk absent.
This OJC remastered 2011 edition of 'Monk's Music' with notes by author Ashley Kahn and producer Orrin Keepnews is an absolutely essential album for any Monk, Trane or Hawkins enthusiast.

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